![](../../../system/refinery/images/W1siZiIsIjIwMjAvMDQvMjkvdHRucmoxNXNmX2RfY2xhcmF0aW9uX01hbGllbnNfY2FtcF9BZ2FkZXouanBnIl0sWyJwIiwidGh1bWIiLCIyMjV4MjU1XHUwMDNlIl1d/d%C3%A9claration%20Maliens%20camp%20Agadez.jpg)
Alors que les frontières entre les États africains sont fermées en raison de la crise de Corona, les expulsions et les refoulements se poursuivent et des milliers de migrant-e-s et de réfugié-e-s sont bloqué-e-s dans des pays de transit comme le Niger. Des protestations se manifestent alors que les gens se plaignent des mauvaises conditions de vie à l'intérieur des camps et de la mauvaise gestion de l'OIM.