
Non aux expulsions de l'Algérie au Niger et au Mali! Stop à la persécution et à la violence aux personnes migrant.e.s!
Non aux expulsions de l'Algérie au Niger et au Mali! Stop à la persécution et à la violence aux personnes migrant.e.s!
Le 21 Mai 2021, le réseau transnationale "Afrique Europe Interact" et Alarme Phone Sahara, ensemble avec des différents groups partenaires, célébraient la Journée d'action transnationale «LIBERTÉ DE CIRCULATION, NON AUX EXPULSIONS!» pour manifester contre les expulsions de l'Europe vers les pays africains, mais aussi les expulsions entre des pays africains, encouragées par des accords de réadmission et par l'externalisation du régime frontalier de l'Union Européenne.
Nouveaux convois d'expulsion de l'Algérie dans la zone frontalière désertique les 21 et 23 mars 2021. Au moins 137 personnes civiles assassinées dans la région de Tillia au Niger.
Les convois officiels et non-officiels d'expulsions massives depuis l'Algérie vers la frontière du Niger se poursuivent en mars 2021 dans des proportions sans précédent. 2098 personnes sont arrivées au poste de frontière d'Assamaka les 14 et 16 mars après d'avoir été expulsées d'Algérie, selon les Lanceurs d'Alerte d'Alarme Phone Sahara.
Au moins 1089 personnes expulsé-e-s entre le 12 et le 14 Novembre 2020
Des personnes expulsées rapportent de violences brutales et de vols commis par les forces de sécurité algériennes.
Un autre convoi d'expulsion est arrivé à Assamaka le 8 Octobre 2020. Human Rights Watch (HRW) condamne les violations des droits des réfugié-e-s et migrant-e-s de la part de l'état algérien.
Alarme Phone Sahara condamne le traitement raciste de migrant-e-s et réfugié-e-s par les états maghrebins et leur collaboration avec le régime frontalier européen
Alarme Phone Sahara (APS) déplore une nouvelle intensification des expulsions et refoulements de l'Algérie vers le Niger au moment de la reprise de la circulation entre les pays africains.
Alors que les frontières entre les États africains sont fermées en raison de la crise de Corona, les expulsions et les refoulements se poursuivent et des milliers de migrant-e-s et de réfugié-e-s sont bloqué-e-s dans des pays de transit comme le Niger. Des protestations se manifestent alors que les gens se plaignent des mauvaises conditions de vie à l'intérieur des camps et de la mauvaise gestion de l'OIM.