
L’équipe des Lanceurs d’Alertes du Kawar à travers l'alerte ont pu secourir Ismaël Karawi, un conducteur de bétail de chameaux
L’équipe des Lanceurs d’Alertes du Kawar à travers l'alerte ont pu secourir Ismaël Karawi, un conducteur de bétail de chameaux
Présentation du 6ème Atlas de la société civile 2023 par Brot für die Welt
Focus sur les défenseurs des migrants
Avec une fréquence sans précédent, des personnes d’origines diverses sont expulsées d’Algérie vers le Niger. Dans les 3 mois depuis le début de l’année 2023 jusqu’au 1ier Avril, c’étaient au moins 11336 gens concernées selon les observations de l’équippe d’Alarme Phone Sahara..
LE 27 MARS, 39 MIGRANTS ONT PERDU LA VIE DANS LA PRISON DE L'INSTITUT NATIONAL DES MIGRATIONS (INM),ET EN SOLIDARITÉ AVEC LA VIE ET LES DROITS DE L'HOMME DE TOUS LES MIGRANT.E.S ET RÉFUGIÉ.E.S, NOUS REPONDONS AVEC CETTE DECLARATION
Réalisé par: Hadi Oumarou et Assoumana Agada
Montage: Assoumana Agada
La Tunisie n'est plus un pays sûr pour les migrants africains, ce qu'affirment les nombreux migrants qui sont actuellement bloqués sur le territoire.
Cri d'Alerte par Alarme Phone Sahara sur la crise humanitaire à Assamaka à la frontière nigéro-algérienne, publié le 15 Mars 2023
10, 12 et 14 Février 2023: Arrivée d‘ au moins 2298 personnes expulsées d’Algérie au Niger à Assamaka
Les expulsions d’Algérie au Niger continuent à grande échelle, avec 5181 personnes espulsées entre 29 Octobre et 04 Décembre 2022 selon les observations d’Alarme Phone Sahara. En même temps, Alarme Phone Sahara observe que des milliers des migrant.e.s au Niger, entre autres des personnes expulsées nouvèlement arrivées, ne trouvent plus d’accès aux services de l’Organisation Internationale des Migrations (OIM).
Entre le 8 et le 21 Octobre 2022, au moins 1964 personnes de divers pays ont été expulsé.e.s d’Algérie au Niger. Le nombre de personnes expulsé.e.s depuis début 2022 monte alors à au moins 19069.
L’équippe d’Alarme Phone Sahara d’Assamaka s’est rendue au « Point Zéro » avec son tricycle pour assistér aux expulsé.e.s, surtout aux personnes malades, blessées et affaiblies, à se déplacer jusqu’au village d’Assamaka.